Mémento 10è degré REAA Illustre Élu des Quinze - Pierre Pelle Le Croisa
€ 13,00
10e degré du REAA
L’Illustre Élu des Quinze est un des degrés de Vengeance. Il se réfère à la justice. Mais les atrocités auxquelles la légende nous fait participer, inspirent un sentiment d’horreur au lecteur d’aujourd’hui… et c’est bien normal?!L’incompréhension que suscite ce grade provient de deux erreurs d’interprétation. D’abord, ce rituel qui apparaît vers le milieu du XVIIIe siècle, porte la trace de la vision chrétienne de l’époque où il a été élaboré?: plutôt que d’une exécution, il s’agit du sacrifice de ce qu’il y a de mauvais en nous. Ensuite, quand nous évoquons la justice, nous pensons à la justice sociale. Ici, il n’en est rien?: nous sommes confrontés à la justice divine, prise dans sa conception théologique. Les têtes coupées des trois mauvais Compagnons correspondent au rejet des «faux esprits», de notre ego, du «moi» tout puissant. Détachées de l’animalité des corps (qui sont ouverts de la poitrine au pubis pour permettre à l’âme de se libérer) et fichées sur des pieux, elles s’élèvent à présent vers le ciel. La triade négative d’Abiram, Sterkin et Oterfut, celle qui avait détruit la triade modèle de Salomon, Hiram Abi et Hiram de Tyr, a été éradiquée. Une nouvelle s’y substitue?: celle de Salomon, Adoniram (qui signifie en hébreu le «Seigneur» ou le «Maître Hiram») et Hiram de Tyr. Le monde peut alors retrouver la paix, et l’initié la lumière divine (l’«Aïn Soph Aor») vers laquelle il se tourne désormais pour qu’elle rayonne en lui…
L’Illustre Élu des Quinze est un des degrés de Vengeance. Il se réfère à la justice. Mais les atrocités auxquelles la légende nous fait participer, inspirent un sentiment d’horreur au lecteur d’aujourd’hui… et c’est bien normal?!L’incompréhension que suscite ce grade provient de deux erreurs d’interprétation. D’abord, ce rituel qui apparaît vers le milieu du XVIIIe siècle, porte la trace de la vision chrétienne de l’époque où il a été élaboré?: plutôt que d’une exécution, il s’agit du sacrifice de ce qu’il y a de mauvais en nous. Ensuite, quand nous évoquons la justice, nous pensons à la justice sociale. Ici, il n’en est rien?: nous sommes confrontés à la justice divine, prise dans sa conception théologique. Les têtes coupées des trois mauvais Compagnons correspondent au rejet des «faux esprits», de notre ego, du «moi» tout puissant. Détachées de l’animalité des corps (qui sont ouverts de la poitrine au pubis pour permettre à l’âme de se libérer) et fichées sur des pieux, elles s’élèvent à présent vers le ciel. La triade négative d’Abiram, Sterkin et Oterfut, celle qui avait détruit la triade modèle de Salomon, Hiram Abi et Hiram de Tyr, a été éradiquée. Une nouvelle s’y substitue?: celle de Salomon, Adoniram (qui signifie en hébreu le «Seigneur» ou le «Maître Hiram») et Hiram de Tyr. Le monde peut alors retrouver la paix, et l’initié la lumière divine (l’«Aïn Soph Aor») vers laquelle il se tourne désormais pour qu’elle rayonne en lui…
Parution : septembre 2019
Editeur : Numérilivre
ISBN : 978-236632-103-6
EAN13 : 9782366321036
Format : 11 cm x 15 cm
Nb pages : 208
Editeur : Numérilivre
ISBN : 978-236632-103-6
EAN13 : 9782366321036
Format : 11 cm x 15 cm
Nb pages : 208